« Où suis-je ? » : Dans mon Monde ; Dans les étoiles ; Sous la douche ; Sur Move It ... N'importe où tant que je suis là :) « Que fais-je ? » : J'entre en Bubullition ; je fais des Bubullites. C'est une espèce très rare, attention ! (a) « Comment va ? » : Comme une narcissique aggravée qui s'est regardée dans un miroir pendant plus d'une heure: ça va géniaaal :D
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Sujet: Re: CTRL + V Ven 23 Juil - 15:10
Citation :
Ma magnifique Pauline d'amour que j'aime très fort; ouai, moi j'suis capable de t'écrire un long & beau commentaire, ainsi que le poster ici pour que les gens sachent à quel point je t'aime. Ouai, c'est dur à croire que quelqu'un puisse s'attacher à une autre personne en aussi peu de temps, pourtant crois-moi; c'est ce qui est arrivé. En peu de temps j'ai su que tu étais quelqu'un de merveilleux aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur. & je sais que je ne me trompe pas alors ne nie pas quand je te dis que tu es sublime; parce que c'est la vérité. Tu mérites d'être la femme la plus heureuse de cette terre, j'espère d'ailleurs que ça sera vite le cas. Regarde droit devant toi & ne te baisse jamais; oublie les gens qui te veulent du mal parce que tu réussis mieux qu'eux; ils n'en valent vraiment pas la peine. Pauline Proust, je t'aime vraiment. Ne l'oublie jamais car je serai toujours là pour te soutenir; dans les pires comme dans les meilleurs moments. ♥
Un message sur le mur d'une amie que je lui ai écrit. :)
Chaaw ★ Rebelle discrète
« Où suis-je ? » : Dans mon salon. Dans ma chambre. Ca dépend des jours :) « Que fais-je ? » : Je sais pas, mais je devrais sûrement être en train de travailler pour la fac. « Comment va ? » : Comme quelqu'un qui voudrait pouvoir hiberner pendant tout l'hiver tellement je manque de sommeil
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Sujet: Re: CTRL + V Ven 23 Juil - 15:43
TRUE BLOOD • 23 points + FRINGE • 05 points - SIX FEET UNDER • 24 points NCIS • 14 points HOW I MET YOU MOTHER • 34 points
^^
AngelDust ♠
« Où suis-je ? » : Dans les étoiles. « Que fais-je ? » : Je pense, je papillone, j'écris, je vis, j'aime. « Comment va ? » : Comme une vacancière.
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Sujet: Re: CTRL + V Mar 27 Juil - 18:26
Citation :
Spoiler:
15 octobre 2024.
« Mon souffle est court. Non, je ne suis pas stressée. Enfin, presque pas. Les maquilleuses s'affairent autour de moi, rajoutant une touche de fard à paupière par là, une touche de blush par ci. Je les ignore. J'ai les habitude, depuis le temps. Elles sont comme des abeilles qui tournent autour d'une fleur. Et comme dirait mon père, je suis la plus belle des fleurs, n'est-ce pas ? Enfin, passons. Je relis mon discours, mot par mot. Je barre une phrase de temps en temps, la remplaçant par une autre, qui sonne mieux. J'arrive encore à corriger quelque chose lu et relu plus de mille fois. Mon père passe la tête par la porte de ma loge. Il porte un costume bleu nuit, comme à son habitude. Il a l'air anxieux, bien plus que moi. Je tente de le rassurer, avec un sourire qui se veut sûr de lui.
Alors, ma puce, pas trop stressée ? Ses yeux bleus me transpercent, je sais bien qu'il tente de lire en moi, de savoir à quoi je pense et surtout si je suis sereine. Père, vous savez très bien que ce n'est pas la première fois que je passe à la télé ! Tout va bien se passer, exactement comme d'habitude !
Ma voix ne tremble pas, depuis longtemps je sais la contrôler : lui donner la tonalité et l'assurance que je souhaite, ce qui est très utile surtout en cas de panique totale. Par la même occasion, j'essaye d'éviter de me mordre la lèvre inférieure, même si j'en ai très très envie. Mon père prendrait ça pour une marque d'anxiété et il n'aurait pas vraiment tort. Or, mon but n'est pas de l'inquiéter, bien au contraire. La tête de l'homme disparaît comme elle est apparue et je reprends la lecture de mon bout de papier. Ces mots, ce sont les miens. Je les ai cherché longuement, j'ai pesé la visée de chacun, sa signification la plus profonde, le rythme qu'il donne à la phrase entière. Tout est millimétrée, rien n'est laissé au hasard. Voilà le secret d'un discours parfait. Voilà le secret de chacun de mes discours. Les maquilleuses ayant terminé leur travail, c'est la coiffeuse qui vient pulvériser un dernier coup de laque, qui ne manque pas de me faire éternuer. Je la chasse d'un regard noir et d'un geste de la main.
Vous serez bien gentille de venir me chercher cinq minutes avant mon passage à l'antenne, avec un verre d'eau.
Mon ton est hautain, autoritaire. Je sais bien que ce n'est pas son travail, que j'ai une assistante pour cela. Je sais aussi qu'un 's'il vous plaît' aurait été apprécié. Mais je ne suis pas ici pour être appréciée par une vulgaire coiffeuse. J'attends que la porte soit entièrement fermée pour extirper mon portable de ma poche. Je me racle la gorge avant de composer ce numéro que je connais par cœur depuis maintenant deux ans. Je ne peux m'empêcher de sourire, laissant tomber mon masque désagréable au possible une dizaine de seconde. Le premier bip de tonalité retentit avant que je n'entende sa voix douce et agréable. Chaude. Malgré moi, les battements de mon cœur s'accélèrent légèrement.
Allô Gabriel, tu vas bien ? Dis-je de ma voix un peu hésitante. C'est plutôt à toi que je devrais demander ça !
J'ai l'impression d'entendre son sourire, à travers le combiné. C'est comme une boule de chaleur qui grandit doucement dans mon ventre et ma poitrine. Avant lui, je n'étais pas habituée à ça, à ces sensations de jeune fille en fleur. Il me rassure, me comprend et... J'aimerais qu'il soit là, avec moi. C'est dur à avouer, car c'est en partie moi qui ai décidé de cacher cette relation au public. Je sors de ma rêverie alors que la porte de ma loge claque à nouveau.
Oui, oui, tout va mieux. Excuse-moi, mais je dois te laisser. On se rappelle après, d'accord ?
Mon ton est redevenu froid et je ne lui laisse pas le temps de répondre avant de raccrocher. Je l'entends à peine lâcher un 'ok'. Mon assistante est maintenant face à moi, une feuille de papier à la main qu'elle me tend avec un sourire poli. Au fil des années, nous nous sommes rapproché elle et moi, et même si je la soupçonne de ne pas être tout à fait d'accord avec les idées que véhiculent la secte, nous nous entendons relativement bien. Elle ouvre la bouche, mais je la coupe avant qu'elle ne dise le moindre mot.
Ce sont les questions des journalistes, n'est-ce pas October ?
Elle acquiesce, me tend la feuille et tourne les talons. Voilà pourquoi mon père est aussi stressée. Aujourd'hui, je ne vais pas être confronté à un seul journaliste. Non. Ils seront six ou sept en face de moi, et tout ça en direct. J'avale difficilement ma salive. La boule chaude abandonnée dans mon ventre par la voix rassurante de Gabriel est rapidement chassée par le stress qui revient à l'assaut. Les questions sont celles auxquelles je me suis préparée, je pourrais servir aux journalistes – et aux téléspectateurs par la même occasion – mes réponses idiotes toutes prêtes. Rabâchées. Tout comme mon discours, en somme. Je jette un coup d'œil à ma montre. 19H55. Comme si elle avait attendu devant la porte, la coiffeuse de tout à l'heure frappe et ouvre, un verre d'eau à la main. J'éclate d'un rire, un peu nerveux. Alors, comme ça, elle m'écoute ? J'avale d'un trait le contenu du verre avant de le jeter dans la poubelle et je me lève, plus sûre de moi que jamais. La jeune fille rousse me guide à travers un dédale de couloirs que je connais comme ma poche. Il faut dire que les ai parcouru plus d'une fois. J'arrive dans une petite pièce, un jeune homme s'avance vers moi et m'équipe de micro et tout le tralala. Je me recoiffe d'un geste distrait de la main. Les journalistes sont déjà installés, la présentatrice aussi. J'observe le plateau et ses six caméras du coin privilégié où je me trouve, plus pour bien longtemps. J'entends, au loin, une voix crier.
On est à l'antenne dans 3, 2, 1. Maintenant !
Et là, tout s'enchaîne. Tout va vite. Je reste spectatrice alors que la femme vêtue d'un tailleur annonce mon arrivée. Et puis, quelqu'un me pousse dans le dos. Sans même me retourner, j'avance, d'un pas assuré. L'adrénaline est là, elle me donne des ailes. Je me sais capable de tout. Je serre bien fort dans ma main mon bout de papier chiffonné tandis que je m'assois sur un siège. Mon siège. Seul. En face des huit journalistes qui m'observent. Pour l'instant je me concentre sur la femme, à ma gauche.
Holly Everglow, bonsoir. Nous sommes ravis de vous avoir parmi nous.
Trêve de politesse. Je me force à lui adresser un sourire immense et faux, avant de lui rétorquer d'une voix légèrement excédée :
Comme toujours, le plaisir est partagé. Si j'ai bien compris, vous êtes ici car vous avez quelque chose à dire à nos téléspectateurs, n'est-ce pas ?
Idiote. Quelle question. Je ne suis pas venue ici pour apprendre à danser la valse, et puis quoi encore. Malgré mes pensées assassines, je ne quitte pas le sourire que j'affiche. Il est de rigueur.
C'est exactement ça. Et je vous remercie de m'accueillir pour me permettre de faire circuler mon message. Je vous en suis reconnaissante. Je vous laisse vous exprimer. Ensuite vous répondrez aux questions que vous ont concocté nos journalistes.
Tous les regards sont braqués sur moi. Sur le prompteur, en face de moi, va défiler mon discours. Mais je ne peux pas me fier à lui, n'importe qui a pu écrire n'importe quoi. Je déplie mon bout de papier, tout en me répétant que je suis une battante et que je vais tous les écraser. Alors que je m'apprête à ouvrir la bouche, toutes les caméras sa braquent sur moi. Dans ces moments-là, je me sens importante. Le stress s'envole, même si je sais que des milliers de personnes me regardent. Je n'ai pas le droit à l'erreur : il m'est interdit de bafouiller, de m'emmêler les pinceaux, de trop lire mes notes, de toucher trop souvent à mes cheveux, de me mordre la lèvre, de devenir trop agressive, de... La liste est longue à vrai dire.
Merci. Tout d'abord, bonsoir à tous. Vous devez savoir que je m'exprime au nom de Helios, l'église crée et dirigée par mon cher père. Si je suis là ce soir, c'est parce que les choses empirent et que vous êtes bien placés pour le savoir, vous tous, derrière vos écrans. Vous êtes les premiers touchés, car vous vivez dans la vraie vie jour après jour. Et vous n'êtes pas aveugles, n'est-ce pas ? Vous voyez bien ce qui se trame, tout autour de vous.
Flatter le public est une étape importante. La plupart des personne sont réactifs à la flatterie et croient ce qu'on veut leur faire croire après quelques caresses.
Les vampires, car ce sont bien eux le problème, ces créatures sanguinaires, assoiffés, sont partout. On les voit à la télé, on les voit au gouvernement, on les voit à la tête de grandes écoles... Ils contrôlent vos vies. Ils prennent les décisions importantes pour le destin de vos enfants. Ils votent les lois. Ils gèrent votre argent. Ils assurent votre défense au tribunal. Ils enseignent des matières comme le commerce ou la littérature à vos enfants.
Je fais une petite pause, sans cesser de fixer la multitude de caméras. Ce que je dis est vrai, pourtant, j'ai l'impression que personne ne s'en rend compte. C'est comme si tout le monde était aveugle, à part moi et ceux qui participent aux réunions de Helios, bien sûr. J'avale ma salive, une mine réjouie sur la figure.
N'avez-vous pas peur ? Ne tremblez-vous pas quand vous mettez un pied dehors en sachant qu'ils sont là, partout, prêts à vous sauter dessus, à vous dévorer ? N'êtes-vous pas effrayer quand vous laissez vos enfants jouer dehors ? Êtes-vous assez idiots pour ignorer les morts, de plus en plus nombreux ? Les vampires sont incapables de se contrôler. Cette boisson dont ils se nourrissent ne leur suffit plus. Ils veulent plus. Toujours plus.
Je ne peux retenir une légère quinte de toux. J'avale une gorgée d'eau pour la faire disparaître. Je jette un coup d'œil discret à mon père, resté dans l'ombre. Il sourit. C'est plutôt bon signe. Je n'espère qu'une chose : le rendre fier de moi.
Ils désirent votre sang et celui de vos progénitures. Voilà pourquoi nous ne pouvons leur faire confiance : ce sont des êtres abjects, capables de tout pour goûter au sang. Il est impossible de croire à leur toute nouvelle bonne conduite. N'oubliez pas les carnages qu'ils ont commis, les innocents qu'ils ont tué pour se nourrir. Tout cela n'est pas terminé. La guerre continue, mais dans l'ombre. Les êtres froids se font plus discrets d'années en années. Ils déguisent leur meurtre en crises cardiaques ou en accidents de voitures. Mais ils continuent de tuer.
Je croise mes jambes sous la table, ce qui fait remonter légèrement ma jupe. Je regarde un instant ma feuille. J'ai bientôt terminé. Je me prépare déjà intérieurement aux questions qui vont suivre. Je débite la suite sur un ton qui se veut vivant et je finis sur un sourire adressé aux caméras. J'espère avoir fais mon petit effet, comme d'habitude. L'Église a besoin de nouveaux membres et c'est principalement à moi de convaincre. Maintenant, je dois assuré pour questions.
Mademoiselle Everglow, Peter Reynolds. Vous qui dites que les vampires sont si dangereux, comment expliquez-vous leur place capitale dans la société actuelle ?
Question basique à laquelle je réponds sans arrêts. Il faut croire que les chroniqueurs aiment ces questionnements basiques.
La réponse est simple, Peter. Les vampires dégagent un charme sans limite. Les citoyens ont beaucoup de mal à résister. Pourtant c'est ce qu'ils doivent faire et mon rôle est de les aider dans cette lutte !
C'est maintenant une femme qui prend la parole. Une blondinette que je n'ai encore jamais vue, que ce soit à la télévision ou ailleurs. Je lui trouve un sourire un peu sadique. Elle regarde sa fiche longuement, comme pour faire durer le plaisir. Le silence est pesant. Et puis, elle jette la feuille blanche par terre, se lève, et me fixe de ses yeux bleus, presque transparents. Sa voix résonne dans le micro noir qu'elle tient dans sa main droite. Elle prend pas la peine de se présenter et me jette, d'un ton cinglant :
Le charme des vampires, vous dites... Mais... N'êtes-vous pas tomber sous le charme de l'un d'eux, vous-même ? Vous prétendez pouvoir nous aider, mais vous êtes peut-être la plus vulnérable, non ?
Mon cœur a un raté puis s'emballe. Ses yeux ne me lâchent pas. Comment sait-elle ? Comment a-t-elle appris ça ? De quel droit s'est-elle permise de fouiller dans ma vie privée ? Je retiens mon souffle. Je n'ai pas le droit de craquer.
La toute première partie de mon histoire pour un forum en cours de crétation.
Chaaw ★ Rebelle discrète
« Où suis-je ? » : Dans mon salon. Dans ma chambre. Ca dépend des jours :) « Que fais-je ? » : Je sais pas, mais je devrais sûrement être en train de travailler pour la fac. « Comment va ? » : Comme quelqu'un qui voudrait pouvoir hiberner pendant tout l'hiver tellement je manque de sommeil
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« Où suis-je ? » : C'est la question que je me pose à chaque réveil. « Que fais-je ? » : C'est la question que je me pose quand je suis à 5gr :D « Comment va ? » : Imothep, imothep.
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« Où suis-je ? » : dans la chambre des secrets, chuuut !!! « Que fais-je ? » : je me cache de Voldemort, j'ai refusé sa demande d'ami sur facebook alors il est furieux « Comment va ? » : bah plutôt mal, j'ai Voldemort aux trousses, quelqu'un peut appeller Harry s'il vous plait?
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« Où suis-je ? » : Je suis en parfaite osmose dans mon cosmos... « Que fais-je ? » : Je suis toute seule dans ma tête, rejoignez-moi !
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Sujet: Re: CTRL + V Ven 30 Juil - 2:20
Citation :
Gras
Ital.
Soulig.
Barré
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je sais pas d'où ça sort..
`Lyie
« Où suis-je ? » : Dans l'antre secrète du génie pas malin « Que fais-je ? » : Je pleure sur la tombe de mon stylo préféré. Adieu, fidèle compagnon. « Comment va ? » : c r e v é e
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« Où suis-je ? » : C'est la question que je me pose à chaque réveil. « Que fais-je ? » : C'est la question que je me pose quand je suis à 5gr :D « Comment va ? » : Imothep, imothep.
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« Où suis-je ? » : Devant mon ordi *sbaff* « Que fais-je ? » : Des tas de choses <3 « Comment va ? » : Mal partout... J'viens de me souvenir pourquoi j'deteste autant le basket *out*
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Sujet: Re: CTRL + V Dim 22 Aoû - 17:16
Vous aimez faire du shopping ou du lèche vitrine ? Privilégiez-vous les marques ? Préférez-vous acheter en magasin ou par vente-par-correspondance ? Quel est votre style d'habillement ? Pensez-vous être trop dépensière ou pas assez ?
Never Say Never
« Où suis-je ? » : « - Marco ? - Polo ! » « Que fais-je ? » : « je navigue tranquille sur l'internet ! ♫ » « Comment va ? » : « et tu sais, je suis sûre qu'elle l'a très bien pris parce qu'elle se sentait délicieusement bien ce jour là ! »
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Sujet: Re: CTRL + V Mer 29 Sep - 19:36
Citation :
« I don't tell anyone about the way you hold my hand I don't tell anyone about the things that we have planned
« Où suis-je ? » : BOUH ! Juste derrière toi (a) « Que fais-je ? » : Surpris si je te dis que je surf en ce moment sur Move It ? « Comment va ? » : Comme une désespérée qui déteste le mois de Novembre *sbaff*
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Sujet: Re: CTRL + V Mer 29 Sep - 20:14
Citation :
L’homme venait de pénétrer dans la pièce, et lui tournait le dos. Il s’évertuait rapidement à remettre de l’ordre dans cette grange d’une allure fébrile, mais la raison Castiel la connaissait, il était ici pour cette même raison à vrai dire. A pas de loups, aussi silencieux qu’une ombre puisse l’être, il s’approche de l’homme et l’attrapant par derrière il lui colle sa main contre la bouche pour l’empêcher d’émettre le moindre son et de les faire tous les deux repérer. Il agissait toujours ainsi, prenant les gens par surprise, c’était une sorte de plaisir personnel dont il ne savait se priver, même lorsque l’heure était grave et la situation sérieuse.
C – Du calme l’ami … C’est moi. Une fois sûr que son interlocuteur ne risquait plus de faire du bruit inutilement, Castiel relâcha son étreinte et laissa l’homme se retourner pour lui faire face.
D – Castiel … J’aurais dû me douter que c’était toi C – Te serais-je donc indispensable ? D – Simplement stupide mon garçon … Te montrer ici, autant aller demander haut et fort qu’on te pende !
Castiel ne pût s’empêcher de laisser échapper un léger rire. Ces reproches il avait l’habitude de les entendre, à vrai dire l’intrépidité et l’arrogance de notre jeune homme n’était plus un secret pour personne, que ce soit du côté de ses alliés ou de ses ennemis. Mais là ne résidait pourtant pas sa faiblesse, certes il lui arrivait parfois de se prendre pour plus fort qu’il ne l’était et de se surestimer mais il n’en restait pas moins un jeune homme intelligent et bourré d’initiatives, c’était ce qui lui assurait de toujours trouver une porte de sortie et cela expliquait sans doute qu’il soit encore en vie malgré le temps qu’il passait à jouer au chat et à la souris avec le pouvoir en place.
D – Si ta pauvre mère te voyait, et ton père mon Dieu, ils ne s’en remettraient pas de voir quelle vie tu mènes … C – Malheureusement ils ne sont plus là pour le voir, paix à leur âme, je leur épargnerai donc ce spectacle. Combien sont-ils ? Une fois encore il changeait de sujet dès qu’il était question de ses parents, pour tout dire il n’en parlait jamais, il ne voulait pas. D – Trois, deux postés à la porte et un qui se sert dans notre nourriture, comme si il en manquait, lui.
Notre jeune homme secoua la tête, autant parce qu’il se désolait d’une telle situation, où les paysans n’avaient guère d’autre choix que celui de se laisser intimider sans quoi mort s’en suivrait certainement, que parce qu’il avait fondé de faux espoirs dans la venue de ses hommes ici. Il avait imaginé affaire plus importante, quelque chose dont il puisse tirer partie pour mettre des bâtons dans les roues du tyran qu’était Julian Pankhurst. Ce n’était qu’une maigre consolation face à ce que Castiel souhaitait faire endurer à cette ordure, mais c’était en attendant de pouvoir enfin ôter à cet homme ce qui lui restait de sa misérable vie ; Il paierait pour ce qu’il avait fait à Myra, il paierait pour avoir envoyé à la mort Katherine et Hannah, même si Castiel devait en payer de sa vie il se l’était juré, il tuerait Julian. Les deux hommes n’eurent cependant pas le loisir de continuer leur conversation car des voix au dehors semblaient se rapprocher d’eux. Mieux valait ne pas imaginer le sort qui attendait ce pauvre Dan si on le surprenait en pleine conversation avec Castiel, ou même avec un autre rebelle, c’était la pendaison assurée ; Cette peur se lisait d’ailleurs sur le visage de Dan, il avait beau être du même côté que Castiel il n’en craignait pas moins pour sa vie et pour cela on ne pouvait pas l’en blâmer. Lorsque deux gardes, la main posée sur le manche de leur épée, rentrèrent d’un seul coup dans la grande cependant, Castiel avait disparu, sans que Dan ne se rende compte de rien ni que les gardes ne remarquent quoi que ce soit.
G – On peut savoir c’que tu trafique tout seul ? D – Rien … Rien du tout. G – Amène toi on a besoin de ferrer un de nos chevaux avant de repartir
{ … }
La nuit était totalement tombée lorsque Castiel entendit les trois chevaux de ces invités surprise s’éloigner au galop. Il patienta encore plusieurs minutes avant d’enfin sortir de sa cachette, on était jamais trop prudents des fois que l’un ou l’autre des hommes ai oublié quelque chose. Toujours aussi silencieusement qu’à son habitude, Castiel descendit du toit sur lequel il était perché depuis les deux heures que ces hommes étaient là, il était d’ailleurs temps qu’ils s’en aillent parce que les jambes de notre jeune homme commençaient sérieusement à s’ankyloser. Dan était assis devant l’entrée de sa maison, il fixait les étoiles d’un air absent et devait sans doute penser que Castiel était partit pour de bon et ne reviendrait pas ce soir. Cette fois-ci pas d’effet de surprise, le jeune homme se contenta seulement de s’asseoir aux côtés du vieil homme sans rien dire pour venir troubler le silence qui régnait depuis que les hommes du roi avaient quitté les lieux
D – Ils allaient vers le Nord … C – Grand bien leur fasse, s’ils empruntent la forêt je ne garantie pas de leur survie, tu sais comme les bois peuvent être dangereux. Il ne put effacer un sourire en coin de son visage, même à cette heure-ci des rebelles devaient encore roder, cette forêt ne dormait jamais complètement et l’idée de pouvoir dépouiller quelques gardes était toujours tentante. D – Tu ne comprends pas ce que je dis … Ils allaient chez toi Castiel ! C – Dans ce cas ils seront bien reçus … J’ai fait installer un comité d’accueil un peu particulier (a)
Castiel n’était en effet pas assez fou pour laisser son ancienne demeure complètement sans surveillance, il avait beau ne plus pouvoir y vivre désormais c’était tout de même toujours chez lui et quiconque tenterait de s’y introduire le ferait à ses risques et périls.
D – Tu donnes constamment l’impression de jouer … Rien ne t’atteint plus et je craint qu’un jour ce soit ce qui te mènera à ta perte mon garçon … Dan avait un air résigné, il semblait comprendre au fil du temps que Castiel n’était pas homme que l’on réussissait à faire changer, mais il craignait que le jeune homme un jour en paye le prix fort. C – Je ne joue pas Dan, crois-moi c’est tout sauf un jeu …
Et là dessus Dan ne s’imaginait même pas à quel point. Passant une main sur ses cheveux blonds, Castiel quitte quelques instants le sourire faussement insouciant qu’il donnait l’impression de garder en permanence ; Il se forçait à jouer les types intrépide, espiègle, avide de relever tous les défis qui se présentaient à lui, mais pour autant il n’en oubliait pas pourquoi il faisait ça, pourquoi il en était réduit à vivre dans la forêt comme un vagabond. Ceux qui vivaient au jour le jour avec lui savaient que le but qu’il poursuivait, tuer Julian, le rongeait à petit feu de l’intérieur, mais pour les autres il ne se battait que par orgueil, et c’était mieux qu’ils pensent ainsi, Castiel ne recherchait pas la pitié des gens bien au contraire.
C – Si ils repassent, reste attentif … Soit mes yeux et mes oreilles Dan D – Pour te donner une nouvelle raison de prendre des risques inconsidérés ? Tu es fou … C – C’est de voir ce pays qui se meurt qui me rend fou … Voilà pourquoi Pankhurst doit mourir D – Même si tu dois y laisser ta vie ? C’est noble, mais complètement insensé C – Qu’est-ce ma vie à côté des dizaines qui pourraient être épargnées dès lors que cette pourriture brûlera en enfer ? Tu penses qu’à cause de lui on a pas assez souffert ? Qu’on a pas assez payé ?
Secouant une nouvelle fois la tête Castiel se lève d’un bon, montrant dans ce simple geste toute l’agilité dont il était pourvu. Il était temps pour lui de partir, Dan avait beau désapprouver Castiel savait qu’il pouvait lui faire confiance, si quelque chose se passait il serait mis au courant. Ramassant son arc, qu’il avait laissé à ses pieds lorsqu’il s’était assis, il pose quelques instants ses yeux bleus sur Dan avant d’ajouter après une courte hésitation
C – La prochaine fois que tu iras voir ta femme … Assure-toi qu’il y ait des fleurs pour la mienne … Pour Katherine et Hannah aussi … D – Parce que tu refuses d’y aller toi-même encore … C – Je ne mérite pas d’y aller … Pas tant que je n’aurai pas rendu justice …
Il ne laissa pas à Dan le loisir de répondre une nouvelle fois, lui tournant le dos il s’éloigne sans un mot de plus, disparaissant bientôt dans l’obscurité de la nuit. Castiel venait malgré lui de faire étalage de la fierté, mais surtout de la culpabilité qui l’animait depuis le décès de sa femme et de ses filles ; Il ne voulait pas se rendre sur leur tombe, il ne pouvait pas simplement y aller et dire n’importe quelle banalité qui ne changerait en rien le fait qu’il n’avait pas réussi à les garder en vie. Quel homme digne de ce nom pouvait avoir vu impuissant sa famille mourir sous ses yeux ? Il ne méritait pas de les pleurer, il méritait encore moins de leur demander pardon … S’il devait mourir en tuant Julian alors soit, il ne craignait pas la mort. Cette nuit-là Castiel ne dormit pas, il resta assis sur un rocher, dans cette forêt qui était aujourd’hui sa demeure, et se repassa encore une fois le film de la mort annoncée du Seigneur Pankhurst … Ce jour là se rapprochait, il le sentait.
Un morceau de vieille présentation que j'ai reposté tout à l'heure sur mon forum test ^^'
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Sujet: Re: CTRL + V Sam 2 Oct - 18:10
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TRUE BLOOD • 10 points SIX FEET UNDER • 26 points NCIS • 24 points HOW I MET YOU MOTHER • 42 points
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Sujet: Re: CTRL + V Sam 2 Oct - 18:26
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TRUE BLOOD • 09 points SIX FEET UNDER • 26 points NCIS • 25 points HOW I MET YOU MOTHER • 42 points
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« Où suis-je ? » : « - Marco ? - Polo ! » « Que fais-je ? » : « je navigue tranquille sur l'internet ! ♫ » « Comment va ? » : « et tu sais, je suis sûre qu'elle l'a très bien pris parce qu'elle se sentait délicieusement bien ce jour là ! »
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« Où suis-je ? » : « - Marco ? - Polo ! » « Que fais-je ? » : « je navigue tranquille sur l'internet ! ♫ » « Comment va ? » : « et tu sais, je suis sûre qu'elle l'a très bien pris parce qu'elle se sentait délicieusement bien ce jour là ! »
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Sujet: Re: CTRL + V Mer 27 Oct - 13:18
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David Boreanaz ; 16 pts Jensen Ackles ; 14 pts Jared Leto ; 05 pts Chace Crawford ; 11 pts Jonathan Rhys-Meyers ; 14 pts Paul Wesley ; 05 pts Ian Somerhalder ; 03 pts Kellan Lutz ; 11 pts Justin Chambers ; 11 pts Peter Facinelli ; 11 pts
Monster
« Où suis-je ? » : Devant mon ordi *sbaff* « Que fais-je ? » : Des tas de choses <3 « Comment va ? » : Mal partout... J'viens de me souvenir pourquoi j'deteste autant le basket *out*
Carnet de folie Degré de folie: (0/0) Je veux qu'on parle de : Maladies connues: Gourmandise psychotique
Sujet: Re: CTRL + V Ven 19 Nov - 16:42
SIX FEET UNDER • 27 points NCIS • 38 points HOW I MET YOU MOTHER • 37 points
Hard Candy
« Où suis-je ? » : Je suis en parfaite osmose dans mon cosmos... « Que fais-je ? » : Je suis toute seule dans ma tête, rejoignez-moi !
Carnet de folie Degré de folie: (100/100) Je veux qu'on parle de : Maladies connues: Obnubilation par les arts plastiques